Ce resto de sushis véganes à Montréal offre un sashimi de «saumon» qui crée des cravings

Alors que plus de gens s’intéressent aux options en ce qui concerne l’alimentation végétarienne et végane, l’offre estmaintenant très présente. Dans les restos, spécialisés ou pas, les plats sans viande ou avec des substituts sont de plus en plus offerts et pour manger des sushis sans poisson, une nouvelle succursale du Bloom sushi botanique a ouvert ses portes cet été.

C’est en 2019 que Dominic Bujold, le fondateur du restaurant végétalien LOV, ainsi que Manuel Ventura, fondateur et chef du Sushi Momo, ont fait affaire pour ouvrir le premier Bloom à Montréal. À présent, un second emplacement offre un menu décadent au 288 rue Sainte-Catherine Ouest et c’est LA place pour un « sashimi de saumon » sans aucune hint animale.

Le menu varié offre plusieurs plats qui donnent faim, comme la soupe miso, les dumplings aux légumes, le poke bol au tartare à base de tofu, ainsi que les nombreux hosomakis et futomakis. Cela dit, les nouveaux objects comme le sashimi au « saumon » fait de konjac, une plante originaire du sud-est de l’Asie, et le sushi kamikaze au « saumon » sont également à essayer sans hésitation.

La texture est absolument parfaite, alors qu’on retrouve vraiment l’expérience de manger du saumon frais. Pour ce qui est du goût, il se rapproche de manière très satisfaisante de celui recherché. Il reste que ce n’est pas du poisson, mais si tu n’en manges pas ou si tu souhaites ouvrir tes horizons, tu te délecteras certainement de cette different absolument délicieuse.

Que ce soit dans un sushi ou seul en entrée, c’est toute une expérience qui vaut la peine d’être essayée. Alors pour ton prochain 5 à 7 entre ami.es ou simplement pour ton plaisir personnel, tu peux te rendre à une des deux adresses en ville et te bourrer la face de sushis 100% véganes.

Bloom sushi botanique 

Prix : 💸💸

Sort de bouffe : Sushis véganes

Adresse : 288, rue Sainte-Catherine O., Montréal, QC

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À noter que l’écriture inclusive est utilisée pour la rédaction de nos articles. Pour en apprendre plus sur le sujet, tu peux consulter la web page de l’OQLF.

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